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Pensées poétiques
15 juillet 2013

Douces pensées et fort désir

Je me rappelle ce jour où

Je sautais de joie

Je me rappelle ce jour où

Tu venais à moi

Je me rappelle ce jour où

Grand désir et fortes joies

 

Je me rappelle ce jour où

Quand se fut l'heure de partir

Amères pensées et fort désir

 

Tu me rappelles ce jour où

Passé mêlés Avenir

Douces pensées et fort désir

 

 

 

 

 

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1 octobre 2012

Peau et coeur


Mon doigt effleure ton dos se tend
Glisse le long de ta peau

Mon doigt effleure ta peau se tend
Glisse le long de ton dos ma poitrine vibre
Mon corps frôle le tien en émoi aux abois de mes doigts qui courent lentement
Une symphonie de tes mille pores jouent l’éveil du désir tu fermes les yeux tu vois nos deux peaux
Et le champ entre les deux corps dense et dansent les vibrations chaleur attirance tu restes immobile tu te laisses faire
Au son de la rhapsodie d’amour culte des corps qui s’aiment
Amour des âmes qui se rencontrent et se côtoient dans un bain de jouissance

Tes milles pores au contact de mes doigts de ma bouche ma langue jouent la rhapsodie de l’amour je m’enivre de son odeur
Folie du temps lorsqu’en face à face on se prend d’un regard
Et puis,
           Un geste des marques d’amour mon petit bout ta bouche tes doigts ma main glisse sur ta peau ton sexe doux  et  fort
Comme mes pensées si douces et mon amour si violent...

8 octobre 2012

La plaine s'endort

                                           *

La plaine s’endort
Les arbres ont leur dernier spasme ventilé
Et se rangent le long des haies
Les ports et la nuit s’ouvrent  sans bruit
Pénombre endormie
Le sommeil veille
Et dans la quiétude crépusculaire des rires
Rires étouffés en des instants solitaires

Comme chaque soir
L’embryon de l’éternité revient
Jouissance d’une tiédeur nocturne

25 janvier 2013

Tohu-bohu d'haïkus

       Au-dessus du plateau

       Feu orangé des couleurs

       Allez hop! Au boulot!

                                            Regarder le plateau

                                                        Rêver marcher dessus

                                                                     Mais non! Dans l'auto!

                                                     

      Le ciel s'éclaircit

      L' embouteillage stagne

              Je rêve de liberté....

                                                 Automatismes

                                                 Dans la cabine,

                                                 Mon esprit vagabonde....

       Perte de temps

      Sur les quatres roues

      Les jambes en campagne

                                             A l'heure où la campagne est blanche

                                             Vois -tu, je suis restée.

                                             A rêver de balade......

                                              

                                                                

     

19 janvier 2014

Poésie à point nommé

Avec ce temps, m'est venue cette si belle poésie, apprise si petite, et qui me revient à chaque fois que la pluie dure, tout un jour....

Il est vraiment Fort Paul !

 

La pluie tombe infinie. Les horizons s'enfuient.

Où vont-ils ces coteaux , ces coteaux sous la pluie, qui portent sur leur dos ces forêts qui s'ennuient?

Où donc est Andely, Andely-le-Petit? Son coteau ? Son château? Je les voyais tantôt.

Les horizons s'enfuient. La pluie tombe infinie.

Du côté des forêts, qui donc réapparaît? Ce géant,est-ce lui ? Est-ce toi, vieux château, qui vas, courbant ton dos, sous neuf siècles d'ennui?

La pluie tombe infinie....

 

Je n'ai pu m'empêcher de vous la faire partager....Un plaisir sous la pluie....

 

 

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27 janvier 2014

Réponse à Dorine

Les souvenirs,

 

Parfois les plus heureux sont dans un tiroir

Parfois on en a perdu la clef

A force de ne vouloir ne voir

Plus rien de notre passé

Ces souvenirs éteints le jour,

Malgré tout, resteront toujours

Dans un petit creux bien gardés

Enfouis, dans le fond de notre mémoire,

La nuit, le jour, sous l'oreiller...

 

Parfois les plus heureux restent à créer...

5 juillet 2014

Vent et toi

 

Le vent souffle et souffle

Et tourbillonne ,

Emportant de moi  vers toi ,

Un baiser qui s'enroule et se pose

Dans ton cou parfumé....

 

Le vent souffle et souffle

Je regarde vers  le haut dans le ciel

Les étoiles s'étaler...

 

Images du coeur

Sens du vent

Girouette de l'instant

Instant de bonheur...

 

Mon corps soufflé....

5 octobre 2014

A Sof,

http://youtu.be/_9tYVB8svsg 

C'etait si bien....Cette vidéo,en live,à Paris,le 30 du mois de septembre...!!!!

Quelle ambiance pour ton anniversaire, ma Sof chérie!!!!

Il respire la joie de vivre ce Jason!!!!

Comme tu me l'as fait partager,je le partage à mes amis du blog,

Merci à tous qui ouvrez la page d'Ethunelle,très très occupée ces temps derniers,mais...

Je pense toujours à la poésie !!!!

Pour l'heure,écoutons donc la poésie de Jason MRAZ!!!

 

À très bientôt!

Ethunelle

11 janvier 2015

Paix à Charlie !

#JeSuisCharlie - JB Bullet

 

Après cette chanson bien vue en reponse à ces infâmes attentats,

Gardons  en mémoire  ces paroles, et soyons dans nos actes les portes-parole des humanistes,

De tous ceux qui oeuvrent au quotidien pour la paix , la  solidarité, l'aide aux plus démunis,

Aux peuples et aux religions lésés, oui à l'oecuménisme et au respect des différences!

Que cette journée immortalise cet élan!

Enfin Un élan international de fraternité et de solidarité  POUR LA PAIX !

Puisse cet élan se perréniser dans les actes de citoyenneté et politiques à venir !!!!

Croyons le, espérons le , faisons le!

Comme tous,je suis émue, atterrée par la barbarie , et....pleine d'espoir...!

 

A mes amis du blog ( blog que je ne nourris pas trop en ce moment ),

Il a fallu ce drame pour que j'ouvre une page, 

J.ai aussi des crayons!

A très bientôt,

Ethunelle

 

15 octobre 2012

Comme une plume tombe sur l'eau





Comme une plume tombe sur l'eau
Une pierre au fond se tait
Le soleil brille encore au-dessus de son miroir
Et l'eau se repose en rond
            L'oiseau à la plume arrachée vole
            Vole encore au-dessus



Les orgues amoureuses jouaient dans les églises infortunées
Le son des violettes rythmaient l'inspiration
Et le Temps se Bâtissait.
Les rivières coulent normalement
Le feu grandit dans toute âme
Les âmes s'épaississaient
Les fleurs bourgeonnent au son du printemps
Pas de bruit, des chants
Chant du coquelicot sauvage sous les ombres des troncs
Chant des bêtes au coeur velu
Aux ailes argentées par la joie de la musique
Musique féerique, onctuosité,
Mollesse du tic-tac
La musique court à l'infini
Galopades des notes endiablées
Le son ne coule plus, il est répandu
Et on le voit baigner les bois et les champs
Scepticisme d'un ciel noir

Blocage d'un bonheur jouissif

                                                         

7 octobre 2012

A Vian


Le plafond  s’abaisse de plus en plus
Les murs se resserrent petit à petit
De plus en plus
Petit à petit
Le plafond a regagné la moitié de sa hauteur
Les murs ont mangé deux quarts du plancher
Le plancher ne bouge pas , il agonise
Il a perdu son ombre
Ombre d’en haut
Moi non plus je ne bouge plus
Le plancher n’est plus qu’à une hauteur d’homme du plafond
Les murs me laissent de quoi étendre mon regard
Je m’assois
Je me couche le plafond a peur de moi
Je ne peux le dire en face de lui
Il me regarde
Il me bouffe
Il me serre le ventre
Mais il me laisse la tête sur mon ventre
Je n’ai pas le temps de voir mon ventre
Mais je crois qu’il est plein
Les murs me serrent
Et je gonfle
Je rougis
Et je gonfle
Et je me remplis
De ce que j’avais caché
Je suis énorme
Je vais éclater
Je vais m’ouvrir
Et me dévider sur deux murs absorbants
Ma mort sera cachée
J’aurai éclaté
                     De tout

                                            *
La tête se frappe contre les murs
Le cerveau clapote
Le regard tremble
Le cœur vibre
On digère
Et on renaît pleinement
Lucide
Avec de la musique classique dans les organes
Et les yeux mouillés

De ne pas avoir vu tout de suite
Ou plus avant
Emotion de la tendresse violente
Laisser son corps au vestiaire
Son cerveau dans le mur
Et l’esprit dans les montagnes
Ou dans la mer
Et l’âme flotter dans la mer
Ou dans le ciel
Ou n’importe où ailleurs

Un ailleurs formidable
Où rires s’emmêlent
Où les cheveux s’emmêlent
Où les beautés se mêlent du soleil et du vent
Où les arbres nous entourent
           Tournevire
           Vibrations ventriloques

La bille roulera sur des immenses océans dorés
L’harmonica rappellera le passé
                       Et les mouettes de la mer
                       Et le corps dans l’âme
                                                           Quoi de plus ?

                                                                       

7 octobre 2012

Devant ton dos


                         Je voudrais être
                        Mer où tu baignes
                       Tout ton corps
                      Tout mon cœur
                     Saigne

                    C’est sous ses mains
                     C’est toi qui baignes
                       Mon cœur et ma peau
                         Me plaignent

                        Tes bains de seins
                      Tes bains de dos
                   Creux de tes reins
                 Douceur de peau
                

                  Dans la mer baigne
                    Bleu de tes yeux
                      Vert de mes veines
                        Tu es partout
                            Devant mon dos
                 
                

26 novembre 2012

A toi,A




  Et si tu me disais tout ce qui reste en suspend
  Dans mon cœur vagabond ton image m’éparpille
             Soit ! Arrêtons là  l’amour et le doute. Pars !


             J’illumine la page pour que, Bon Dieu ! Sortent
                                Les mots, ta bouche, tes doigts, mon désir s’échappe
                                Sublimé dans un tracé d’aquarelle fin transparent
                                                  Comme le voile de ma destinée…couleurs pastels de vie …
                                Dedans,  c’est rougeoyant, vif, bouillonnant !




                                                                 Quand pourrai-je refermer mes doigts sur toi….

                                                                                                                    

                                                                                                        Ta peau…..

                                                                                                                                          Nos doigts croisés….
                                                                                                  

                              

15 juillet 2013

Au son des cigales

Au son des cigales mon corps se pose, là ,derrière les persiennes...

Tandis que mes pensées s'envolent et vagabondent ,ni là ni ailleurs, il n'y a plus de dedans ni de dehors....

Mes yeux se ferment et les images disparaissent

La température de mon corps baisse,sans bouger, je sens un petit air sur la peau passer...

La sieste est douce,repos d'été...

Mes pensées deviennent songes....se délitent et s'évaporent....

 Si peu s'en faut que voilà, aussitôt je m'endors...

 

 

7 octobre 2012

Le temps tient l'aube à son bout

Dehors
Les collines vertes se fondent dans le crépuscule
Des élans de soleil avancé qui vit encore
Chatouillent de leur pointes les maisons

                Une maison
                Deux maisons
                Et le ciel autour
                Des arbres
                Des milliers de feuilles vertes
                Et le vent dedans
                Et dans la maison
                     Dans les deux maisons
                 Un feu grandit
                Et dans les arbres
                      Dans les milliers de feuilles vertes
                 La vie grandit , monte

Se lever tôt pour voir l’aube se pointer
Horizon délavé
Voir naître des milliers de secondes
Voir s’éclaircir le ciel
Et s’ouvrir la Terre sans un bruit
                               Silence
                               Plénitude de la naissance
                                                                         Aurore
Fraîcheur des premiers instants
                Des premiers rayons
L’aurore nous bout dans le ventre
                Voir
                Voir
Silence
Le temps tient à son bout l’aube
                                                   Qui pointe ,
                                                                     Silencieuse
Le temps va tirer l’aube
Qui naîtra à la pointe de l’horizon aux mille pointes
                                                  Le monde est pointu.

8 octobre 2012

Sur la chaise longue

 

Je voudrais pouvoir me dédoubler
D’une personne , je serais assise, là,
De mon autre personne, je serais saoûle…
Je me ferais rire
Et me f’rais la morale
D’une personne à l’autre je passerais
Et rirais de moi
Me parlerais,
M’écouterais,
Et m’dirais mes quat’vérités.

Si je veux être saoûle
Hop ! je saute sur la chaise-longue de gauche
Si je veux être le despote
Hop ! me revoici sur la chaise-longue de droite

Etre saoûle ou être claire
Il faut choisir
Boire un verre
Rien qu’un verre
C’est réaliser son désir

9 octobre 2012

Le feu foisonne au fond du clair

                                                                                                                                                 



Le feu foisonne au fond du clair
Des toiles d'araignée tissées entre deux nuages de bleu gris
Et un envol impassible mordu déracinant
Une pensée nocturneune froideur dans le ventre
Un cri qui gicle , c'est un champ de blé nouveau
C'est l'heure du couvre-feu
C'est la paix ardente qui envahit
La nostalgie du passé  la peur du devenir
C'est deux bêtes haut perchées
C'est deux perches tendues face à face
C'est un fossé traître et mensonger
C'est la paix de l'aurore
                 ( de l'accord )

10 octobre 2012

deux corps se sont....

                                     *

Dans le silence de la mer
Détrompez-vous chasseurs de sirènes
Un avenir léger amer
Vous apparaît debout
Mais il n’est que peine
Si vous levez la tête
Un peu plus haut
   Vous applaudirez
Vous verrez la-haut la fête
   Que vous aimerez
   Car rien d’autre n’est aussi beau
Deux corps se sont aimés dans le silence
Et les mots personnifiés
Et les regards dans le bleu nuité
Elle ne peut s’oublier cette transparence
De cette douce intimité
Où ils se sont regardés
                      Pour la première fois

13 octobre 2012

Repos



                     
                         La mer est calme et doucement clapote;
                         Ah qu'on est bien, quand tout contre la coque,
                         La tête reposée, les pieds trempant dans l'eau,
                         Tous les membres allongés, le regard vers le haut,
                         On se laisse bercer par la brise légère,
                         On se laisse entraîner par la solitude mère,
                         Les soucis oubliés par la douceur des flots,
                         Et le rêve sorti de la réalité...

5 novembre 2012

A moi

                                                         

Il y a dans la plaine attente
Je ne sais moi
L’ombre d’un doute sans doute
Où es –tu moi  je te me cherche
Réveille toi   ouverte    à toi   de ce pas cours
Vas-y
N’aie pas l’ombre
De toi
De ce doute   anxiété  c’est à toi que tu le dois

Perdue  attente  encore
                     Pourquoi
                     L’autre
N’est-il perdu à jamais

Tout est vert dehors  le ciel t’ m’attend  j’arrive
De ce pas perdu pour d’autre je m’équilibre
Me prépare à sauter
                                 Toujours pour m’élancer
Viens je t’attends
Viens je t’ m’attends   m’assieds   me regarde
Me vire
           J’ai le tournis  le tournevire  moi toi
L’autre sur moi me sourit à la vie
                                Sourit à ma vie
Je veux sourire de moi
Et au panier les je dois il faut je voudrais
Que
Queue
Et toi
Et moi qui t’ m’attends

   Dans la plaine je dépose mon chagrin
Esseulée de tout ce qui n’est pas vert
                                                     Vers
                                                     Des vers des mots pour dire ma vie
Jusque-là et puis continuer
Parler du bonheur
 Du vide  de la vie    de l’amour
                      Mais qu’est-ce ......... ?

Des montagnes et des mots pour colorer
Des mots d’amour et des images pour remplir les corps
                                                                           Les sens
                                                                           Sens.
Je suis en accord avec mon instant de trêve. Je vais pouvoir partir. Enfin.

Il est bien ce stylo. Il a un sens. Le mien. Merci.

                                                                              Y croire.  

   17 août .2006

13 janvier 2013

Rires


Rêve assisté
Par une moiteur enivrante je me délire
Regards défenestrés
Je suis sur le dos couchée au pied du lit
Des coussins sous la tête
Beaucoup de beautés dans la tête
Et regards sur de jolis mondes

         Il y a fous-rires et rires fous
 Où
         Il y a de la force dans un rire
         Rires fous
         Rires en cascades
                                Cristallisation
                                Condensation dans un rire
         Rires frissonnants
         Rires qui ne veulent rien dire
                                 Mais qui disent tout
        Un tout dans un rire
        Rires naturels
        Rires multicolores
        Rires en trompette

Rires qui feront trembler les arbres
Et feront rire les montagnes

9 juin 2013

Mot aux lecteurs

A vous, amis du blog  et lecteurs de passage,

 Peu de mots de ma part ces derniers temps....Mon temps est rempli loin de l'ordinateur....mais remplit mon être d'émois....Je n'oublie pas mon blog ni vous   qui lisez ces mots.

 

Du soleil,

Quelques gouttes,

Et le temps incertain reprend sa course...

 

Toujours ce temps.......

A très vite !

28 septembre 2013

J'ai emmené avec moi

J'ai emmené avec moi tous mes sens en éveil

A la mer

Je pensais que me tremper dans l'eau froide me remettrait d'aplomb

Que pensais-je ! Niet !

La chaleur du soleil poursuivit tes caresses sur mon corps offert ! Ah ! Si tu étais là !

 

Par ces mots, je te dédie cet instant..

Avec toi dans mon corps enfoui...

 

 

26 août 2014

Bonne fête mon blog!!!!!

Bonne fête au blog Ethunelle!

Qui a eu la bonne idée de me faire lé plaisir de passer la barre du quatremillième visiteur ??

Merci! Quelle joie !!!

Ah , la la ! A moi de le nourrir encore, d 'émotions,de sensations,de perceptions diverses...Des mots,des images,des sons....

Tout ce qui touche mon âme et mes sens...Mes rêves et mes nostalgies....

Allez, Ethunelle,vas-y ! Continue, me dis-je,m'encourage ! Peinds encore tes couleurs sur la feuille blanche !

Amis lecteurs,

Amis visiteurs,

Merci d'être là,

Avec moi !

Car sans vous, 

Mon blog,

Ne serait

Rien.

Par vous ,

Il est,

Mon bonheur!

Amicalement  à tous,

Ethunelle

 

17 août 2015

Août...Cest encore l'été ?

Vingt heures trente....

Les voisins d'en face sont rentrés 

J'ai retrouvé les moustiques

Trois tomates bien mûres

Le calme aussi...

Va falloir balayer les aiguilles de pin....

Les cigales se font plus discrètes en soirée...la temperature a ralenti sa grimpette

Est-ce encore l'été ?

...Sûrement! Nous sommes en août !   

 

Un clin d'oeil aux saisons et au temps dehors....

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