Mot aux lecteurs
A vous, amis du blog et lecteurs de passage,
Peu de mots de ma part ces derniers temps....Mon temps est rempli loin de l'ordinateur....mais remplit mon être d'émois....Je n'oublie pas mon blog ni vous qui lisez ces mots.
Du soleil,
Quelques gouttes,
Et le temps incertain reprend sa course...
Toujours ce temps.......
A très vite !
à K.
le temps passe
Et j'en passe
Du temps
A penser qu'il passe !
Le temps que j'y pense
Et c'est déjà
Du passé !
Légende
Saisir l'existence en images
Y mettre du son
Un souffle
Un désir
Et hop !
Le temps s'envole....
Neige et vent, Valentin et moi
Mon Valentin et moi
Dans ce ciel
Mes émois
J'aimerais tant...
Au temps les emporte
Le vent
A tire-d'ailes...
Les saints et moi
Retour en arrière
Si ce'était aussi facile que cela
Un retour en arrière et reprendre...
Où en étions-nous?
Suivons la lune et son croissant
Sauf que.
Dans quel sens ce croissant? avance-t-il? recule -t-il?
Et nous.
Le temps d'un coté,nous de l'autre
Je suis à coté du temps, de ses croissants, de ses lunes...
Mes émotions retrouvées et perdues....
A jamais?
Dans la nuit je me fonds....Et confonds mes états d'âme,mon regard est flou...
Vite ! Une musique me sort de ma torpeur...! Et m'emporte dans ses doux filets harmoniques!
Cadeau de la vie, le présent me prend et je m'épanche sur la feuille blanche.....
Sonnet
Tout nous invite à nous aimer encore
Toi, soleil de ma vie, homme de mon coeur mort
Que fais-tu loin de moi , bel amant de mon corps
Jamais je n'eus d'oubli, par contre des remords
Ont tapissé ma vie parce que je t'aime encore
Si j'eus senti le temps et prévu ses ravages
Peut-être aurai-je su rester encore au moins
Pour tenter davantage de ne pas mettre fin
A nos vives amours...Etaient-elles un mirage?
Car elle n'était possible la vie entre nous deux
Que dans une insouciance.Tout n'était qu'un jeu :
" Laissons le devenir,vivons l'instant présent ! "
Ainsi je suis partie, mon amour emporté
Au plus profond de moi où il est encore grand
Depuis l'heure de ce jour jusques au temps passé
(reprise d'une ode à l'amour janvier 2002)
Il y a dans une seconde un infini
Il y a dans une seconde un infini
Et le temps infusé
Et le temps de queques cigarettes ne nous permet pas de comprendre
Entrevoir l’éclair et y plonger dedans
Entière.
Et ruisselante.
Le temps de quelques cigarettes qui transforme l’âme
Dont la fumée efface l’infini
Et fait vivre la seconde
Moi j’aime bien qu’on me prenne la main
Entente mirifique et douceur imparfaite
Tendresse inachevée de cœurs lourds et endoloris
Je suis désaccordée
Et ma main se creuse
Vide atténué gonflé de larmes chaudes
L’essentiel est de se creuser pour un plein
De douceur et d’embraisement
L’ennui violé
Déjouement imprévu d’un corps trop lourd
A digérer
A endormir
Les vagues
Le bleu de la mer
Un couloir vide de chambres blanches
La mise en mémoire
Apprentissage du passé
Irréversibilité : le temps infuse et se diffuse.
Ailleurs , paumée comme une dentelle
Dentelée , paumée , mais toute entière
Dans l’infini de la seconde
A oublier
Une hypothèse
Re-évocation d’un souvenir
Sel marin collé à sa mémoire
Sous un pin parasol
D’ombrages fictifs d’une
Paix provisoire
Hypnose
Magie du temps
Ce temps transparent quand
Il est plein de couleurs
Correspondance…
Message d’une tendresse perdue message
Souvenirs en musique et souvenirs en projet
Bercement corporel
Et destruction de l’âme trop gonflée
Projection dans l’avenir du devenir aperçu
Théories biochimiques
Folie englobulée
Terre-plein électrique
Membres électrisés
Et pudeur en folie noire
Support dans l’onde bleutée de la nuit passage
Passage et empreinte de l’insomnie
Cat’s
Cat is
Mots paumés sur le blanc du papier
La musique me berce
Du lait blanc sans crème s’il vous plaît
C’est la nuit et la nuit
Je voudrais m’endormir
Encore cinq minutes
Nourrition
Conséquence d’une panse avide de boustifaille
Les nourritures terrestres
Et le poisson dans l’eau.
Expérience vécue
Courbe d’un bonheur endolori
Je me déverse
Noir sur blanc
Blanc dessous le noir
Il n’y a pas de gomme pour le stylo.
Novembre 1977
Pace...
Le temps passe
Et je passe
Et tu passes
On passe
J’en passe
Du temps
A penser
Des passes
A pincées
Le temps passe
Et j’y passe
Et je passe
Et repasse
Le temps passé
Le passe-temps
Le temps présent
Le temps pressé
Bâtir
Crépuscule de la journée
Pleurésie de la musique
Et crissement de bribes
Mots sur papier
Papier sans tête
Mais avec un coeur
De l'encre dans les yeux
Qui gicle sur les feuilles
Et j'y vois mieux
Je ne pleure plus
Je m'allonge
Hypersensibilité des notes qui claquent
Je sursaute, je claque
Je me déverse
Je me vois sur du papier
Sur un disque
Ou dans de l'herbe mouillée
Des cailloux, des ruines,
Et des morceaux
Morceaux d'humains déchus
Laisser choir le temps
Et le cueillir
Embrasser la lune
Maudire l'aurore de l'ennui
APPLAUDIR LE RESPECT DE LA SAGESSE
ET BÂTIR.