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Pensées poétiques

5 octobre 2012

Désir


Désir d’écrire
Désir de dire
Désir de sortir
But d’un envoi
Envoi de notes noir sur blanc, couleurs sur le gris
Que dire,
Sinon de colorer la vie
Cette envie qui me prend parfois d’utiliser les couleurs
Et d’en colorer mes jours…
La musique est là pour m’aimer
Les couleurs sont là pour aimer ma main
                                                   mes doigts
                                                   mon cœur ému…/

Tandis que chantent à l’orée de la ville
Les compagnons des champs,
La neige de l’hiver se prépare à tomber
A rendre la nature et les bruits plus tranquilles
Et l’intérieur des maisons plus doré…
L’âme au cœur de l’hiver est chaude
Les corps engourdis se laissent reposer
Et les sourires sont plus natures, plus chauds, plus vrais.
La buée sur les vitres nous fait comprendre la nuance entre l’intérieur et l’extérieur
Ainsi que l’existence d’une réaction entre les deux

               Amis de la ville
               Amis de l’hiver
               Je vous invite
               A partager ma terre
               Et à l’aimer aussi

Encore un mot à dire
Encore une couleur qui tapisse mon cœur
Encore ma main veut écrire, sentir
Sentir cette douceur me prendre
                                  Me serrer
                                  Et mon cœur
                                  Et mes couleurs
                                  Mon âme dorée

                                                         Pour me porter
                                                         M’embrasser
                                                         Me transporter
                                                                                 Dans ce bonheur

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5 octobre 2012

La remontée ou En fait ils sont heureux

                      
C’est l’heure de la remontée
Ils grimpent, par petits groupes, le chemin qui revient de la mer.
Ils ont laissé leur place à la nuit, mais pour elle seulement, car ils viendront la reprendre, à la même heure demain que celle de ce matin.
Les couleurs s’embrassent et se mélangent…
Le ciel blanchit au loin, rosit à l’horizon…
Les oiseaux sortent de leurs abris
Les canots rentrent au port.

Ils remontent après cette longue journée pleine de soleil qui a cogné dur. Il s s’en retournent, de Coups de soleil plaqués au dos, aux chevilles et aux rtarses,leur corps rosi et rougi frémit encore Par la chaleur emmagasinée et les pores respirent, dilatées par de nombreux bains d’eau salée
Il y en a toujours un à la traîne
Une main se tend. L’autre porte la glacière.
«  eh, mamn !, tu sais combien de fois je me suis baigné aujourd’hui ? »
«  oui…. »
«  vingt fois ! ! »
              La mère n’a pas le temps de sourire.
                                     «  et bien, il nous laissera peut-être tranquille ce soir ! »
                                     «  tu penses ! »

                       «  allez ! on grimpe ! »

Le moteur est en marche,
D’autres petits groupes arrivent,
Les mêmes, ou presque.

Le relais est au-dehors.

                               
Les bruits remontent le chemin
Le silence s’installe au-dessus de la mer
Les derniers ont quitté la plage
Elle reprend possession d’elle même et se regonfle à bloc, se prépare à la nuit.
Elle respire, s’étale, libère la chaleur contenue dans ses pierres,
Se laissant caresser par les bras de la mer…Renaissance de la plage…
Qu’il fait bon aller s’y promener à cette heure du jour…

Elle entame sa nuit, se prépare à dormir
Ses milliards de particules vibreront intensément sous les étoiles et elle se détendra, couverte par la Mer qui la berce de sa mélodie… Discours de la nature…
Tout vit intensément.
Assise sur un rocher,
J’écoute ses paroles immuables

C’est l’heure de la fraîcheur…
La mer
La plage
Le ciel
Et la fraîcheur
                    M’entourent
                    Me touchent
                    Me pénètrent
                                          Par mes yeux
                                                Mes pores
                                                       Mes oreilles


La nuit est là sans que je m’en rende compte que c’est la nuit
Il fait frais
Je frissonne
Je veux faire provision de ce plein de sensations,
J’ouvre tous grands mes sens
Et absorbe
                 Osmose…

Nature je t’aime et je vais te laisser
Je t’ai pris de ton lit
Car en toi
Je suis bien
Et je vais penser à toi
Tandis que tu vas vivre ta nuit

                            La nuit viendra me prendre
                                 Mes yeux se fermeront
                           Et nous vivrons ensemble,
                                                     Entières,
                     Dans le ciel habillé d’étoiles

                                                                               La plage, Var,1983

5 octobre 2012

Abandon

 


   Ne pas entendre
   Ne pas voir
   Sentir...
   Sentir...
   Sentir la floraison, la moisson , les parfums incolores ,
   L'herbe mouillée , les chaussures gonflées...
   Sentir l'été au printemps et l'hiver à l'automne
   Ne pas voir les pavés qui collent les feuilles mais sentir
   Les feuilles collées aux pavés

   Ne pas voir l'herbe qui boit la goutte d'eau mais sentir
   La rosée qui perle sur cette herbe...

   Les chemins nous parfumeront et ces senteurs incolores
   Nous guideront et nous transporteront
   Et les yeux fermés nous entendrons
   Ce bon air
   Que nous respirons

   Sentir...
   Sentir...
   Et ne plus se sentir...

5 octobre 2012

A l'analphabète


                        

Ô analphabète penseur
Que tu rêves la nuit !
Et sans que tu t’en aperçoives
La terre tourne et tourne sans toi
                                 Tu l’oublies
Et tu regardes dans tes rêves
Pour voir si tu existes
Tu ne sens pas ton corps il ne t’appartient plus
Tu l’as donné tu l’as donné
       Don du corps à une parfaite sensation
       Bien-être et  chair de poule à la nuit
       Tendresse éperdue oubliée par les sons
       Torpeur inaccessible si l’on ne lâche pas son cœur
Tu rêves car tu penses
Tu l’as dans la poche
             Dans les yeux
             Et dans la bouche
Raconte-la
Nourris-la
Elle est belle , l’imagination



Ô analphabète peintre
                      Fais des dessins sur tes lèvres
 Et dessine ta vie au-dehors
Mords les couleurs et mâche-les car elles se mâchent
Et tu regardes dans tes couleurs
Des milliers de visages abandonnés
Abandonne-toi dans les tons
Délave-toi sur des toiles fines
Doré
Qu’est-ce que tu peins aux heures de la nuit ?
De l’étrange ou du vide à portée de la main
           Pinceau articulé
           Ca vibre et tu transmets la vie à la feuille penchée
Tu peins car tu aimes et tu veux que ce soit
Ton dessin sera vivant
Tout est en vie car tu dessines
Ta toile bougera car tu le veux
           Mais tu trembles
           Tu as peur d’être aimé
           Mais tu es beau sous ta peinture
           Elle est à toi
           Tu l’as créée





Ô analphabète poète
Si tu veux des milliers de mots tu n’en trouveras qu’un
Un qui saute et qui gicle par-dessus des milliers de mots morts
Un mot vivant qui vibre
         Et qui te fais jouir
Sensation cruelle que celle de penser à la mort quand on n’a que ce mot
Tu lis ton écriture et tu verras
Que c’est pas si dur d’écrire la vie ton crayon et toi
         Ce n’est qu’un mot
Tu ne l’écris pas car tu y réfléchis toi
N’y penses pas puisqu’il est dans ta peau
Et dans ton cœur parcouru de milliers d’étoiles réfléchissantes
Ton corps est comme des miroirs dans toutes dimensions
Tu écriras car il le faut
Crois-tu qu’un crayon puisse dire tant de choses
         Les choses dans ce mot
         Les multitudes de sourires que tu vois la nuit dans tes rêves
         Dans le beautés inhabituelles que l’on trouve sur la terre
Tu écriras le feu et la mer
Et les cheveux
Et le vent dans les yeux
                     Crois-tu que l’on puisse écrire des yeux?

C’est toujours ce mot qui revient
Persécuteur de petites habitudes nécessaires
Ce mot est dans ton crayon
Ton crayon l’écrit quand tu veux l’oublier
Ce mot te gicle à la figure   mange-le   bois-le  ne cherche pas à l’épeler
Ne cherche pas son sens étymologique
Il est trop bon  ne le perds pas de vue
Et prends-le à pleines mains  ne le laisse pas tomber
Et ne vois pas sa mort  tu serais trop déçu
Continue à écrire
Puisque tu ne peux pas te retenir
Tout est dans ta main qui serre ton crayon si fort
Pour ne pas perdre ton bonheur
Ne cache pas tes feuilles décorées il faut que tout le monde sache
        Pourquoi tu vis
        Pourquoi tu pleures et tu aimes
        Tu vibres  tu sens
        Et tu trembles
        Car tu as besoin de ce mot.

Ce mot qui t’a rendu fou à force de l’aimer

                                                              
        

2 octobre 2012

Cabane

         

          Dehors montent au ciel

          Les murs de la cabane

          Au-dessus , la lune

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2 octobre 2012

Retours de pensées


 


J’ai vu le château où tu commençais à rire
On disait Nîmes ou Tarascon
Et puis , quelle importance , c’était la voie ferrée.
C’était magnifique.
                       J’ai vu le château et ai commencé à pleurer…
                       J’ai l’impression que je suis à des milles
                       Nulle part , entre tout et rien , je suis loin
                       Les soufflets tremblent violemment comme mes pensées.
Une rue est comme une photo qui tremble…Les arbres… Petit-Nice au pac-à-l’eau
                       Un homme au-dessus , lit
                       Il y a écrit sur la porte : sécurité.
                       Et mon bouton qui se découd.
Je me découds , mais mon cœur est cousu avec du fil d’Acier
Quel est celui qui osera l’atteindre ! qu’il essaye ! Et tous les Démons de l’Amour s’acharneront sur lui , ce voleur de baisers volés d’à demain mystique !
                       A chaque fois que la porte s’ouvre , elle me rentre dans le ventre..Courants d’air…
Trous d’air dans mes boyaux.
Je respire mal mais je choisis l’Air. Quelque chose qui me colle encore au cœur et au corps… « ..get around… »…

                      Orange…
Le ciel s’habille
La lumière se meurt
Crépuscule en deuil de la journée qui se meurt
La journée n’est pas finie , je respire
Cent kilomètres , quatre-vingts kilomètres , quelle importance…Peut-être cinq-cents ,
Dix mille … ,  je descendrai aux cinq minutes d’arrêt
Quand le vent soufflera fort , là où il n’y a pas la mer. Si.Le soleil.
Plus de rouge , c’est sombre maintenant. Les écrevisses sont parties.Demain peut-être , sous les nuages blancs ou gris , elles sortiront pour aller au marché. Marché sous les cerceaux était beau.
Flânerie…
Y avait-il donc quelque chose de pas beau ?

La mer vue de là-haut , perdues au Pérou , tiens ! Il y a donc des arbres au Pérou ?
Fraîcheur instantanée pour celui qui a grimpé haut et qui s’arrête dessous les arbres.
Vert. Jaune. Tâches , reflets , luminosité , fluorescence , perdition…
Perdition totale de l’être
Ivresse tendre…
Fermer les yeux , ouvrir le verrou et tirer le battant en bois gris…Fraîcheur soudaine…
Réconfort…Don du corps à ce bien-être…Dehors le soleil s’est étalé
Où sont donc le ciel et la mer et les arbres ? Tout se rencontre et se délave
Mélange des couleurs , photos incrustées , tête bourrée de lumières , de blanc , de bleu et de rose…Pâleurd’une aube agonisante qui a duré trois jours , trois étés , trois lunes , trois années-lumière. Mille ans.Ivresse particulière d’une folie amoureuse de la vie.
                       Une fille mal ordonnée , tant pis. Peut-être plaira-t-elle , peut-être ne plaira-t-elle pas. Elle  
                       n’a pas l’air de s’en soucier
Débattement
Je bas des ailes…Mon cœur est bavard
Mais je ne dis rien haut
Je regarde juste en face et je suis à des milles
Je suis de l’autre côté  très loin  je suis paumée
A perdre haleine
Emotion
Durable

Jolie robe  Et bien portée.
Le jeune qui est là est bien gentil. Il regarde la vitesse qui débranche les arbres . On a quelque chose en commun.On a senti une même odeur d’alcool et de tabac mêlés
Oubli
Rire saccadé , cristallisé , enfantin. Jeunesse du contentement.
Jouissance la plus sûre  Promesse d’une belle promenade
Allons voir Aristide Briand. On y boira du thé froid.
« Pourrai-je avoir quelques glaçons de plus ? »…---« ..Humm humm.. »
Drôlerie. Fous rires éperdus . Corps perdus . Ames plus que vivantes.
Tiens , il n’a pas mis son anti-vol ! Il ne doit pas en avoir pour bien longtemps. Il a dû
faire un saut à la librairie.
                       Mais , ce n’est pas par là ! Ici ! Là-bas ou au-delà , quelle importance , on avait acheté le
Temps
Pour un instant
Tant pis , on verra bien.

Tu as vu l’usine atomique ?
Je n’ai pas envie de voir , je ne veux pas rentrer
Je suis prisonnière de l’espace. Comment allez-vous faire pour m’attacher ?Peut-être avec des feuilles de salade
La porte s’est refermée. Je m’enferme et somnole…Je dormirai longtemps ;jusqu’à ce que
Je meurs
Exil  Passions violentes.Je n’ai pas faim. Mais non , c’est psychologique. Je n’ai envie de rien ,  si !
De voir la mer et marcher le long , les pieds dans l’eau
Non , je m’arrête
Car    je pleure ,
Le réveil va sonner huit heures.

Gorge coincée par la féerie mélancolique ,
Je souris
Car j’aime le vent dehors  Aimer c’est vivre mille fois plus
La nuit des temps
L’éternité. J’ai vécu

J’ai mangé de la salade et je suis dans mon bain
Mais cette eau n’est pas salée  C’est incroyable comme j’aime la mer
Je vis la mer , le soleil et les écumes , seule manière de bien-être que de vivre au-dehors
Dehors de tout
La vie est dehors , ailleurs ou nulle part
Elle viendra demain , ou alors pas du tout  Moi je la tiens , je ne la lâche plus
Je mourrai heureuse
Je mourrai vivante et passionnée
Le vent m’enterrera

Je suis bien dans mon bain et ce soir j’ai ri
Nervosité de la folie
Rire amer
Rire agréable à entendre
                       Un melon frais offert à ta bouche  et musique classique au réveil…
On aurait dû fermer les volets …Le jour nous a endormi doucement , le plongeon dans la tendresse…Instant émouvant…Chuchotements…Silence
La télépathie à des mille de notre Galaxie…Je suis encore chaude…
Ca fait un point jaune quand j’appuie mon pouce sur mon cœur
Cris dans la maison , je suis seule dans mon bain, à part , très loin ,
Je respire , je hume , je ne me moque plus
Quittez vos habits et regardez de quoi vous avez l’air !
Cherche la beauté , découvre ,
Et béatitude devant Elle.

Demain il y aura du taboulet et du poulet froid.Aurai-je faim demain ?
Je fais des bulles dans l’eau,
Comme au fond des vagues ruisselantes ,
Et je fais des bulles dans ma tête aussi
Y’a encore sur mon corps les marques des caresses du soleil
Douceur violente…

Il pleut ! Vite ! Rentrez les chaises-longues et les grand-mères !
Tournoi général de jambes en bataille ,
Euphorie des plus petits qui aiment l’impromptu
Dépêchez-vous de finir votre assiette , ça va être l’heure du goûter !
Petit pastis mais bien tassé.
Le regard tourne , se détourne ,
Et s’en retourne vers l’hier.
Un haut-parleur bourdonne au loin ,
C’est la fête des enfants.

                                        à A-C.A.


              

2 octobre 2012

Bâtir


Crépuscule de la journée
Pleurésie de la musique
Et crissement de bribes
Mots sur papier
Papier sans tête
Mais avec un coeur
De l'encre dans les yeux
Qui gicle sur les feuilles
Et j'y vois mieux
Je ne pleure plus
Je m'allonge

Hypersensibilité des notes qui claquent
Je sursaute, je claque
Je me déverse
Je me vois sur du papier
Sur un disque
Ou dans de l'herbe mouillée
Des cailloux, des ruines,
Et des morceaux
Morceaux d'humains déchus
Laisser choir le temps
Et le cueillir
Embrasser la lune
Maudire l'aurore de l'ennui
APPLAUDIR LE RESPECT DE LA SAGESSE
ET BÂTIR.


                                                         

2 octobre 2012

Heure de vie


La loi du tout-ou-rien m’a frappée
Et moi ,
Je me désaccorde
J’ai toujours voulu mourir sans pleurer
                               Mourir sans rire , mais
                               Mourir au réveil
                               Avec la surprise d’un nouveau jour
On l’appelle l’Aurore ,
L’Aurore sur le pays des Miradors
               Elle s’est levée
                Je la verrai demain
                Elle ne sera pas éteinte puisque je serai là

Mer , beauté , et ventilé parfum…
Accroître la seconde où l’on voit l’éclair
Et dormir sans un bruit
Comme la pierre au fond de l’eau se tait

Anarchistes immortels de l’amour ,
Ouvrez-moi vos drapeaux

Si un jour me glisse l’aube des mains ,
Je voudrais mourir tout de suite
Elle est là
Non-sens à la mort   comparaison fictive
Je veux être là pour admirer le soleil
Faîtes lire sa fête tout au long du jour
                La nuit sera noire et blanche
                Mais ce sera une belle nuit
Armes , bouchers et bouteilles oxygénées
Pas besoin de tout cela
Les yeux et le ventre bourrez ce ventre et ventre plein

Accord parfait de la nature et du son
Insomnie pendant la nuit
De peur d’oublier
L’heure de Vie

Vie
Vie
Et sourire au fond

1 octobre 2012

Et les étoiles.....

     

            ... Et les étoiles continuent d‘exister dans le ciel
                                     Tandis que moi, je les regarde, les jambes croisées ....                     

1 octobre 2012

A Domi

                             ET TOI, COMMENT CA VA ?

Comment ça va , le ski
                           , les enfants
                           , le soleil
                           , la bouffe
                           , ton ventre
                           , tes tripes
                           , ta tête
                           , ton cœur
                           , tes mains
                           , ton ambiance
                           , celle des autres
                           , celle d’autour de toi
                           , ta vie
                           , tes jours
                           , tes nuits
                           , tes soleils
                           , tes joies
                           , tes peines
                                             le ski, c’est joli
                                             les enfants, c’est épatant
                                             le soleil, qui émerveille
                                             la bouffe, qui touffe
                                             ton ventre, où trempent
                                             tes tripes, qui piquent
                                             ta tête, qui tête
                                             ton cœur, qui donne la chaleur à
                                             tes mains, dessin de
                                             ton ambiance, où danse
                                             celle des autres, qui poireautent dans
                                             celle d’autour de toi, où il y a
                                             ta vie, c’est joli
                                             tes jours, et tes amours
                                             tes nuits, grandies par
                                             tes soleils, où baignent
                                             tes joies, pour toi
                                             tes peines,
                                             pour la même  

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Pensées poétiques
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